star-gs

Literate program for a geometric sensitivity calculation
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Author: Lapeyre Paule <paule.lapeyre@yahoo.fr>
Date:   Wed, 14 Dec 2022 11:57:30 -0500

Modification section 1 et annexe decomposition

Modifications dans l'introduction sur la descritpion de l'observable.
Modifications dans le texte et correction de certaines équations dans la
section 2 sur le modèle de sensibiltié.
Modifications de l'annexe décomposition avec une description sur le
besoin de la projection dans le modèle de sensibilité et les équations
correspondantes. Reste à lier le texte et les blocs de codes.

Diffstat:
Msrc/sgs_compute_sensitivity_translation.nw | 176+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++--------------------------------
1 file changed, 106 insertions(+), 70 deletions(-)

diff --git a/src/sgs_compute_sensitivity_translation.nw b/src/sgs_compute_sensitivity_translation.nw @@ -96,6 +96,29 @@ l'exception de la paroi supérieure qui est spéculaire (figure~\ref{fig:configuration}). La déformation géométrique que nous considérons est une translation de cette paroi. Nous étudions l'impact de cette translation sur le flux reçu par un récepteur situé sur la paroi inférieure. +L'observable radiative de notre problème est donc le flux $\varphi$ perçu par +le récepteur et s'exprime: +\begin{equation} +\varphi = \int_{\S_{recepteur}} dS \int_{\mathcal{H}} d\vec{\omega} +\vec{\omega} \cdot \vec{n} L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) +\end{equation} +On s'intéresse à la sensibilité de ce flux par rapport à la variation de la +position de la paroi spéculaire: +\begin{equation} +\partial_{\PI}\varphi = \int_{\S_{recepteur}} dS \int_{\mathcal{H}} d\vec{\omega} +\vec{\omega} \cdot \vec{n} \partial_{\PI} L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) +\end{equation} +Pour évaluer le flux $\varphi$ nous avons besoin de connaître la luminance $ +L(\vec{x},\vec{\omega},\PI)$ , dans toutes les directions entrantes et en tout +point du récepteur, de façon similaire pour évaluer $\partial_{\PI} \varphi$ +nous avons besoin de connaître la sensibilité géométrique $\partial_{\PI} +L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) $, dans toutes les directions entrantes et en tout +point du récepteur. L'objet de la section \ref{modele_sensib} est de donner le +modèle physique qui décrit les sources et le transport de la sensibilité +géométrique. Dans la section \ref{monte_carlo} l'algorithme de Monte-Carlo qui +résout le problème de sensibilité est donné, il est construit de manière +analogue au transport de sensibilité en suivant de façon directe la propagation +des sources de sensibilité. \begin{figure} \centering @@ -174,8 +197,8 @@ translation sur le flux reçu par un récepteur situé sur la paroi inférieure. \end{figure} \begin{equation} -\rho(\vec{x},-\vec{\omega}) = 0.25 (1- \cos(2 \pi \frac{x}{Dx})(1- \cos(2 \pi -\frac{y}{Dy}) +\rho(\vec{x},-\vec{\omega}) = 0.25 \lbrack 1- \cos(2 \pi \frac{x}{Dx}) \rbrack +\lbrack 1- \cos(2 \pi \frac{y}{Dy} \rbrack \label{eq:rho} \end{equation} @@ -187,34 +210,17 @@ L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) = S_b \quad \quad \quad \vec{x} \in A_d ; avec $S_b$ la source surfacique qui correspond à l'émission thermique de la paroi: \begin{equation} -S_b = L^{eq}(T)(1- \cos(2 \pi \frac{x}{Dx})(1- \cos(2 \pi \frac{y}{Dy}) +S_b = L^{eq}(T) \lbrack 1- \cos(2 \pi \frac{x}{Dx}) \rbrack \lbrack 1- \cos(2 +\pi \frac{y}{Dy}) \rbrack \end{equation} -L'observable radiative est le flux $\varphi$ perçu par le récepteur qui -s'exprime: -\begin{equation} -\varphi = \int_{\S_{recepteur}} dS \int_{\mathcal{H}} d\vec{\omega} -\vec{\omega} \cdot \vec{n} L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) -\end{equation} - -On s'intéresse à la sensibilité de ce flux par rapport à la variation de la -position de la paroi spéculaire: -\begin{equation} -\partial_{\PI}\varphi = \int_{\S_{recepteur}} dS \int_{\mathcal{H}} d\vec{\omega} -\vec{\omega} \cdot \vec{n} \partial_{\PI} L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) -\end{equation} -Pour évaluer le flux $\varphi$ nous avons besoin de connaître la luminance, -dans toutes les directions entrantes et en tout point du récepteur, de façon -similaire pour évaluer $\partial_{\PI} \varphi$ nous avons besoin de connaître -la sensibilité géométrique $s$, dans toutes les directions entrantes et en tout -point du récepteur. %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% % Modèle %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% \section{Modèle de sensibilité géométrique} - +\label{modele_sensib} La sensibilité géométrique de la luminance est définie telle que: \begin{equation} s(\vec{x},\vec{\omega},\PI) = \partial_{3} L(\vec{x},\vec{\omega},\PI) = @@ -227,22 +233,17 @@ sensibilité entrante dans le domaine. \paragraph{Équation de transport} Dans \citep{papier_sensib} l'équation de la sensibilité dans le milieu est -donnée en toute généralité. Pour notre exemple elle peut se résumer à -l'equation \ref{eq:ETR-S}, avec $s = s(\vec{x},\vec{\omega},\PI)$: +donnée en toute généralité. Dans notre exemple le milieu est transparent ($k_a += k_s = 0$) et elle peut se résumer à l'equation \ref{eq:ETR-S}, avec $s = +s(\vec{x},\vec{\omega},\PI)$: \begin{equation} - \vec{w} \cdot \vec{\nabla} s = \mathcal{C}[s] + \vec{w} \cdot \vec{\nabla} s = 0 \label{eq:ETR-S} \end{equation} -et -\begin{equation} -\mathcal{C}[s] = -(k_a + k_s) s + k_s \int_{\mathcal{S}} -p_{\Omega'}(-\vec{\omega}'|\vec{x},\vec{\omega}) d\vec{\omega'} -\label{eq:C_operator} -\end{equation} \paragraph{Les conditions aux limites} -La seule paroi du cube paramétrée par $\PI$ est la paroi du haut qui est -spéculaire. Seule cette paroi sera donc source de sensibilité géométrique: +La seule paroi du cube paramétrée par $\PI$ est la paroi du haut, elle sera +donc la seule source de sensibilité géométrique: \begin{equation} \begin{aligned} s_{droite} = s_{gauche} = s_{devant} = s_{derri\grave{e}re} = s_{bas} = 0 \\ @@ -252,15 +253,16 @@ s_{haut} = s(\vec{x},\vec{\omega},\PI) \quad \quad \quad \vec{x} \in S_{haut} \end{equation} Dans \citep{papier_sensib} la condition à la limite de la sensibilité -géométrique est donnée en toute généralité puis dans les cas spécifiques de -paroi noire, paroi spéculaire et paroi diffuse. Dans notre exemple elle prend -la forme suivante (voir annexe \ref{ann:cl_sensib} pour les développements qui -mènent à cette expression): +géométrique est donnée en toute généralité puis dans les cas spécifiques des +parois noires, parois spéculaires et parois diffuses. La paroi du haut étant +spéculaire la condition à la limite de sensibilité prend la forme suivante +(voir annexe \ref{ann:cl_sensib} pour les développements qui mènent à cette +expression): \begin{equation} \begin{aligned} s(\vec{x},\vec{\omega},\PI) = & - \beta \left(\partial_{1,\vec{u}}\rho(\vec{x},-\vec{\omega}) \right) -L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) \quad \quad \quad \vec{x} \in A_h ; +L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) \quad \quad \quad \quad \vec{x} \in A_h ; \vec{\omega} \cdot \vec{n} > 0\\ & + \partial_{1,\vec{\chi}}L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) - \beta \partial_{1,\vec{u}} L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) @@ -270,10 +272,13 @@ L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) \quad \quad \quad \vec{x} \in A_h ; \textit{Note}: La dérivée spatiale $\partial_{1,\vec{\gamma}} f(\vec{x},\vec{\omega}) = \vec{\gamma} \cdot \vec{\nabla}_{\vec{x}} -f(\vec{x},\vec{\omega}$ est la dérivée directionnelle dans la direction +f(\vec{x},\vec{\omega})$ est la dérivée directionnelle dans la direction $\vec{\gamma}$. -Nous pouvons remarquer que la condition à la limite de sensibilité dépend de la +\paragraph{Les sources de sensibilité} Dans ce problème les sources de +sensibilité sont localisées uniquement sur la paroi du haut et déterminées à +partir de la condition à la limite. Toutefois, dans l'équation +\ref{eq:clsensib} la condition à la limite de sensibilité dépend de la luminance incidente à la paroi (dans la direction de transport spéculaire) mais également des dérivées spatiales de la luminance, dans la direction de dérivation $\vec{u}$ et dans la direction de dérivation $\vec{\chi}$, @@ -285,32 +290,35 @@ couplage du modèle de sensibilité avec le modèle de transfert radiatif et le modèle de la dérivée spatiale (voir \citep{papier_sensib} qui considère les dérivées spatiale et angulaire de la luminance comme des quantités de la physique, au même titre que la sensibilité géométrique, et qui en décrit les -modèles). Nous concluons alors que résoudre ce problème de sensibilité -géométrique dans la boite revient à résoudre un problème de transport couplé -qui dépend à la fois des source radiatives (à travers $L_{spec}$), des sources -de dérivées spatiales dans la direction $\vec{u}$ (à travers -$\partial_{1,\vec{u}} L_{spec}$) et des sources de dérivées spatiales dans la -direction $\vec{\chi}$ (à travers $\partial_{1,\vec{\chi}} L_{spec}$). +modèles). Nous concluons alors que résoudre notre problème de sensibilité +géométrique revient à résoudre un problème de transport couplé qui dépend à la +fois des source radiatives (à travers $L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI)$), +des sources de dérivées spatiales dans la direction $\vec{u}$ (à travers +$\partial_{1,\vec{u}} L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec})$) et des sources de +dérivées spatiales dans la direction $\vec{\chi}$ (à travers +$\partial_{1,\vec{\chi}} L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec})$). \paragraph{Les sources du problème couplé} -Les sources radiatives ont été décrites dans la figure \ref{fig:configuration} -(seule la paroi de droite est émettrice) et nous devons à présent donner les -sources des dérivées spatiales. Dans \citep{papier_sensib} il est déterminé -que les sources de dérivées spatiales peuvent être volumiques, surfaciques et -linéiques (pour les géométries facétisées - non différentiables). Nous -n'entrerons pas dans les développements qui explicitent comment trouver les -sources des dérivées spatiales de cet exemple, nous en donnerons seulement le -résultat. En quelques mots: les propriétés radiatives du milieu sont -spatialement homogènes, il n'y aura donc pas de source volumique de dérivée -spatiale; les propriétés radiatives des surfaces (coefficient de réflexion et -émission thermique) s'annulent toutes aux extrémités des faces du -parallélépipède, il n'y aura donc pas de sources linéiques de dérivée spatiale. -Concernant les sources surfacique: le milieu étant transparent, les parois -noires et froides ne seront pas sources de dérivée spatiale; seules les parois -de droites seront des sources pour les dérivées spatiales et ces sources sont +Les sources radiatives ont été décrites dans la figure \ref{fig:configuration}, +il n'y a pas d'émission volumique et seule la paroi de droite est émettrice +(voir la condition à la limite, équation \ref{eq:cl_rad}). Nous devons à +présent donner les sources des dérivées spatiales. Dans \citep{papier_sensib} +il est déterminé que les sources de dérivées spatiales peuvent être volumiques, +surfaciques et linéiques (pour les géométries facétisées - non +différentiables). Nous n'entrerons pas dans les développements qui explicitent +comment trouver les sources des dérivées spatiales de cet exemple, nous en +donnerons seulement le résultat. En quelques mots: les propriétés radiatives du +milieu sont spatialement homogènes, il n'y aura donc pas de source volumique de +dérivée spatiale; les propriétés radiatives des surfaces (coefficient de +réflexion et émission thermique) sont modélisée par des fonctions qui +s'annulent toutes aux extrémités des faces du parallélépipède, les sources +linéiques de dérivée spatiale seront donc nulles. Concernant les sources +surfacique: (TODO milieu transparent)les parois noires et froides (propriétés +homogènes) ne seront pas sources de dérivées spatiales; seules les parois de +droites seront des sources pour les dérivées spatiales et ces sources sont données par les conditions aux limites décrites par les équations \ref{eq:cl_duL_haut}, \ref{eq:cl_duL_droite}, \ref{eq:cl_dchiL_haut} et -\ref{eq:cl_dchiL_droite}. +\ref{eq:cl_dchiL_droite} (TODO notations !). \begin{equation} \partial_{1,\vec{u}} L = \beta_u \left( \partial_{1,\vec{u}_s} @@ -342,7 +350,7 @@ données par les conditions aux limites décrites par les équations % Algorithme Direct %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% \section{Résolution par Monte-Carlo} - +\label{monte_carlo} \paragraph{Commentaires} On veut estimer par Monte-Carlo la sensibilité géométrique du flux reçu par le récepteur à l'épaisseur du cube. On va donc écrire un fichier @@ -762,11 +770,11 @@ de commande). % Annexe CL de sensibilité %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% \section{Détails de la condition à la limite de sensibilité} -Nous récupérons ici la condition à la limite pour une paroi spéculaire $s = -s(\vec{x},\vec{\omega},\PI)$: +Nous récupérons ici la condition à la limite pour une paroi spéculaire donnée +dans \citep{papier_sensib} $s = s(\vec{x},\vec{\omega},\PI)$: \begin{equation} -s = \mathcal{C}_b[s] + S_{b,\PI}[I, \partial{1,\vec{u}}I, -\partial_{1,\vec{\chi}}, \partial_{2,\vec{\gamma}_t}I] \quad \quad \quad +s = \mathcal{C}_b \lbrack s \rbrack + S_{b,\PI} \lbrack I, \partial_{1,\vec{u}}I, +\partial_{1,\vec{\chi}} I, \partial_{2,\vec{\gamma}_t}I \rbrack \quad \quad \quad \vec{x} \in \partial G(\PI) ; \vec{\omega} \cdot \vec{n} > 0 \label{eq:cl_sensib_gen} \end{equation} @@ -808,7 +816,7 @@ spéculaire. Dans notre exemple le milieu est transparent, les termes $\mathcal{C}[L]$ et $S$ sont donc nuls. La paroi spéculaire est froide, la source surfacique $S_b$ -qui dans cete exemple correspondrait à l'émission thermique de la paroi est +qui dans cet exemple correspondrait à l'émission thermique de la paroi est donc aussi nulle. L'opérateur collisionnel de la surface $\mathcal{C}_b$ est indépendant de $\PI$, la dérivée $\partial_{\PI} \mathcal{C}_b$ est donc nulle. Pour finir la @@ -833,8 +841,8 @@ d\vec{\omega}' \end{equation} En prennant en compte le fait que: \begin{equation} -\int_{H'} \delta(\vec{\omega}' - \vec{\omega}_{spec} f(\vec{\omega}') -d\vec{\omega}' = f(\vec{\omega}_{spec} +\int_{H'} \delta(\vec{\omega}' - \vec{\omega}_{spec}) f(\vec{\omega}') +d\vec{\omega}' = f(\vec{\omega}_{spec}) \end{equation} on trouve finalement: \begin{equation} @@ -852,6 +860,34 @@ L(\vec{x},\vec{\omega}_{spec},\PI) \\ %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%% \section{Décomposition du vecteur de déformation} +Dans le modèle de seniblité la déformation est caractérisée par le vecteur de +déformation $\vec{\chi}$. La condition à la limite de sensibilité dépend alors +de la dérivée spatiale $\partial_{1,\vec{\chi}}I$ sortant de la frontière. Le +champs de luminance n'étant pas connu il n'existe pas de solution à cette +dérivée. Nous choisissons donc de décomposer la direction $\vec{\chi}$ en deux +directions distincte, une direction tangente à la frontière $\vec{u}$ et la +direction de transport $\vec{\omega}$. Ainsi la dérivée de I selon $\vec{\chi}$ +devient une composition de dérivées de I le long de la paroi (où la luminance +est connue) et le long de la direction de transport (retrouvant ainsi le terme +de transport de l'ETR). + +La décomposition de $\vec{\chi}$ s'écrit : +\begin{equation} +\vec{\chi} = \alpha \vec{\omega} + \beta \vec{u} +\label{eq:chi_decomp} +\end{equation} + +Ce qui permet d'obtenir : +\begin{equation} +\partial_{1,\vec{\chi}}I = \alpha \partial_{1,\vec{\omega}} I + \beta +\partial_{1,\vec{u}} I +\end{equation} +et de résoudre la dérivée en estimant $\partial_{1,\vec{u}}I$ le long de la +surface et en utilisant l'ETR pour résoudre $partial{1,\vec{\omega}}I$: +\begin{equation} +\partial_{1,\vec{\omega}}I = \mathcal{C} \lbrack I \rbrack +\end{equation} + <<decomposition>>= struct projection { double alpha;